DÉDICACE
Il n'y a de lecteur que le lecteur pensif.
C'est à lui que je dédie mes oeuvres.
C'est à lui que je dédie mes oeuvres.
Qui que tu sois, si tu es pensif en lisant, c'est à toi que je dédie mes oeuvres.
Victor Hugo, Notes préparatoires à la rédaction de l'Homme qui Rit (1869), édition de Roger Borderie, Gallimard, coll. Folio Classique, 2002.
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