On s'accroche donc à cette unique chose qui donne cet oubli total de soi-même qu'on appelle le bonheur. Mais lorsqu'on s'y accroche, il se change à son tour en cauchemar, parce qu'on veut alors s'en libérer. On ne veut pas en devenir esclave.
Krishnamurti, De l'amour et de la solitude, cité par Denis Robert en épigraphe de son roman Le bonheur, Les Arènes, 2000.
Krishnamurti, De l'amour et de la solitude, cité par Denis Robert en épigraphe de son roman Le bonheur, Les Arènes, 2000.
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