6.12.13
Seul à Vigo
Cette attitude était bien typique de notre monde familier : plus on était mort, plus on vous aimait.
(...)
Quand quelqu'un est mort, on dit de lui qu'il est enfin tranquille.
Fritz Zorn, Mars, Gallimard, 1977.
Libellés :
Fritz Zorn,
livres
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire