Marie [Vapereau], ayant déjeuné, étant assez confortablement installée dans son périclodnoï, jouissant du beau soleil qui nous est revenu, a retrouvé sa bonne humeur. Elle se félicite maintenant de cette sécheresse qui nous a permis d'ajouter à nos souvenirs la téléga, le périclodnoï, de nouvelles punaises, la famine et enfin les villages tatars.
Charles Vapereau, Voyage en Sibérie. De Pékin à Moscou (sur la base du récit "De Pékin à Paris. La Corée, l'Amour et la Sibérie", Hachette, 1894), Éditions de l'Amateur, collection Sépia, 2008.
30.12.14
La troïka emportée
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