Il n’y a rien de plus beau que des fesses japonaises lorsque le premier rayon de soleil les dore légèrement et qu’un vent doux souffle sur elles… Dieu, que la vie peut être charmante !
Viktor Pelevine, La Vie des insectes, Seuil, 1995.
14.11.08
Critique slavonienne de la pensée nippone
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1 commentaire:
Si Pelevine avait été japonais, il aurait fait de cela un haiku.
Mais il a raison, dieu que la vie peut être charmante !
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