Si le prévenu n'avait pas eu l'intention d'offenser, mais seulement l'intention de donner une leçon de politesse incongrue, il n'aurait pas manqué de faire précéder la phrase "Casse-toi pov'con" d'une formule du genre "on ne dit pas".
Jugement du tribunal correctionnel de Laval, 6 novembre 2008.
6.11.08
Hors contexte
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