(...)
parce que celle-ci était en face d'elle, de l'autre côté du piano, le visage figé – comment lira-t-elle ce visage ? qu'y lira-t-elle ? de la joie ? – un triomphe ? – de la haine ? – de la peur ? – de la pitié ? – des regrets ? et puis elle se penchera sur la partition et commencera à jouer
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Laurent Mauvignier, La Maison vide, Minuit, 2025.

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