30.7.08

L'Internet avant l'heure


Car à quoi bon aller quelque part ? Tout était ici. En tournant simplement un bouton, on pouvait converser en face à face avec qui l'on voulait, on pouvait aller, en esprit sinon physiquement, où l'on voulait. On pouvait voir une pièce de théâtre, ou entendre un concert, ou bouquiner dans une librairie située à l'autre bout du globe. On pouvait régler toutes les affaires que l'on voulait sans bouger de son fauteuil.


Clifford D. Simak, "La tanière", in Demain les chiens (City), 1952.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Mais pas ne plus être.L'internet vidange.